De quoi parlerons-nous?

Qu'allez vous trouver sur ce blog?

Ce blog est à la gloire des ciels de Polynésie!

Des nuages, et autres phénomènes célestes, bien sûr.
Ici, dans le ciel au dessus de la baie de Taiohae, à Nuku Hiva, dans l'archipel des Marquises, voici des rayons crépusculaires.

En cliquant sur l'image, elle s'agrandira, incroyable! La taille finale est celle d'un écran normal. Si jamais vous vouliez en faire une affiche, demandez moi l'original...

Des rayons crépusculaires ?

Oui, c'était bien le crépuscule du soir. Comme ça se bousculait dans le ciel, avec des nuages à tous les étages, les rayons du soleil qui ne savent aller qu'en ligne droite, se cognaient sur les masses opaques et leur absence se révèle sur le nuage voisin.

Pourquoi les ciels de Polynésie?

J'ai toujours été sensible à la beauté de la nature, aux paysages, aux ciels, mais en arrivant sur l'île de Tahiti, ce sont les nuages qui m'ont captivé.

Nous sommes sur une île, donc (?) il y a toujours de la brise. Le ciel change constamment. C'est l'impermanence perpétuelle!

Le spectacle de l'impermanence est, lui, permanent!

Le matin, sur la montagne, ciel bleu, ou quelques altocumulus lenticulaires qui sortent la tête bien peignée au dessus de la cime.
puis le ciel se peuple de cumulus, qui cachent tant bien que mal un voile de cirrus, et vers midi, ils deviennent si sombres, que l'on attend un atroce orage.
La plupart du temps, il ne se passe rien.

Tout cela s'éclaircit, et l'on peut aller s'installer sur la rade, face à l'ile de Moorea et au quai de débarquement des containers, avec ses trois grues colorées, pour contempler le coucher du soleil, et le lever des étoiles.

En une semaine, on est sûr d'avoir vu une bonne partie du livre qui ne me quitte pas plus que mon appareil photo, "Le guide du chasseur de nuages" de Gavin Pretor-Pinney.

Donc, illustrations:

Le matin, de la fenêtre, ressemble à ceci:



ou ceci:


à midi:



et le soir: